Le chant d’Eurydice par Marie Louise Dufag-Moreau

La sortie de mon livre « Le Chant d’Eurydice », un témoignage offert au monde sur un évènement marquant de ma vie : le décès de mon mari. Il est le fruit d’un long travail, et le désir de partager mon histoire et ma métamorphose.

 

Le chant d’Eurydice : le récit de soi pour aider les autres

Car nous sommes les mêmes et nous sommes autres à la fois, ayant vécu une métamorphose de soi, véritable processus alchimique qui se vit de l’intérieur, j’ai écrit ce récit de vie pour aider les personnes traversant l’enfer de la maladie. A puiser en eux la force de résilience leur permettant de renaitre à soi autrement après le drame, et de continuer à vivre leur vie, qui est loin d’être finie.

A mes yeux, au-delà de la vulnérabilité et du courage, règne l’intelligence du cœur ouvert au service de l’humain. Je l’applique à tout dans ma vie.

Comme le souligne Jean d’Ormesson qui a dit avoir été heureux toute sa vie :

 

« Merci pour les roses, merci pour les épines. La vie n’est pas une fête perpétuelle.

La vie est une vallée de larmes, mais c’est aussi une vallée de roses ».

Le chant d’Eurydice : hommage à la vie

 

Ce livre autobiographique ne résume pas que l’histoire d’amour que j’ai vécu avec mon mari… Il est bien plus que cela.

Ce livre est un chant d’espérance, tel le chant d’Eurydice. Car comme rien ne nous arrive par hasard :

 

« lorsque nous touchons notre souffrance en pleine conscience,

nous commençons à la transformer » – Tich Nath Hanh.

Qui est Eurydice ?

 

Le jour même de ses noces avec Orphée, la dryade Eurydice, fuyant Aristée qui l’importune, est mordue par un serpent caché dans les hautes herbes. Elle en meurt et descend au royaume des Enfers.

J’ai voulu partager mon aventure de vie d’accompagnante, d’aidante dans la maladie qu’a connu mon mari, et de mère auprès de mes enfants.

 

Le chant d’Eurydice ou la métamorphose de soi

 

Certes, cela m’a plongée dans un tsunami intérieur et dans un lacis indescriptible d’émotions. Mais cela m’a permis de savourer la quintessence des étapes du deuil. Et au-delà, je remercie Gérard, mon mari, de m’avoir fait aborder cette métamorphose de soi, si précieuse à l’épanouissement de mon être.

 

Se raconter et aller au-delà de soi

 

Je fais l’hypothèse que dans tout retournement profond de vie, comme un déménagement, un licenciement, une faillite professionnelle, etc., l’image de l’estuaire est à la fois un goulot d’étranglement – quelque chose d’étroit ; c’est pour cela que l’épreuve est difficile. Et en même temps, c’est l’enjeu d’un mouvement de déversement d’une ancienne vie sous l’image d’un fleuve à l’océan, c’est-à-dire un gain de vastitude à l’horizon de soi-même.

Ce sont ces processus de transformation, de métamorphose qui m’inspirent. Car ils entrent dans des spirales d’évolution, de création, d’ingéniosité toujours plus fécondes.

Ces évolutions successives que nous faisons tous, nous pourrions les déverser avec finesse dans nos œuvres collectives. Car tout est teinté d’un sens profond au service d’autrui et ce, quelle que soit la structure ou l’organisation au sens premier du terme.

 

Et si tous les gars du monde se donnaient la main

nous verrions l’éclosion de projets matures, propulsés avec le cœur.

Il n’y a plus rien à prouver ;

ETRE est la divine réponse. 

 

Être authentique et oser être soi

 

Etre la version la plus authentique de soi-même pour œuvrer en conscience avec les autres, n’est-ce pas un beau cadeau que l’on se fait, que l’on fait aux autres? Et ceci en pensant aux générations qui nous suivront ?

Ce livre marque pour moi le passage de l’estuaire de ma vie prête à connaître un élargissement et une intensification des possibles que l’avenir m’offrira !

La vie est un enseignement magistral.

 

 

Mes remerciements sont nombreux

Car ils incarnent la nature profondément bienveillante de tous ceux qui m’ont entouré dans la phase d’avant-projet.

  • Je remercie tout particulièrement  : Alain Laupa, Christine Thélier, Muriel Millot, Doriane Alvès, Jean-Marc Bouillon et Jean-Pascal Debailleul

qui m’ont conseillé et ont été mes premiers relecteurs.

 

 

“Le chant d’Eurydice” Vérone Editions, par Marie Louise Dufag-Moreau.

Disponible dans les enseignes suivantes :

Fnac, Cultura, Eyrolles, Amazon, Librairie vents de terre, Nouveautés-éditeurs BNF

 

Le chant d'Eurydice

 

Ils l’ont lu et ont aimé…

Claudia Saint-Val

« Ma Chère Marie, ton livre est poignant, tes mots si bien choisis et tant de méandres partagés avec tant de clarté. Ton livre invite en sortie, pour moi, à la fois sur une ouverture spirituelle au travers de ton décryptage du mythe. Et aussi sur un questionnement vis à vis de soi-même et l’essence même de la vie. »

Tania André

« Je ne connaissais pas le mythe d’Orphée et d’Eurydice et en lisant le résumé, je trouvais l’histoire vraiment triste mais Marie Louise a éveillé ma curiosité. Elle a illuminé le mythe avec sa transposition personnelle et inspirante.

Ce récit apporte un merveilleux rayon de soleil aux épreuves de la vie qui force l’admiration et incite à la générosité et à l’enrichissement personnel.

Merci pour ce cadeau. »

Jean-Pascal D.

« Si Orphée avait entendu le chant d’Eurydice quand les deux époux remontaient des enfers certainement ne se serait-il pas retourné.

Mais la femme chante de façon si subtile et mystérieuse qu’il faut avoir été préparé à tendre l’oreille pour ne pas manquer ses signes secrets.

Marie Louise, telle Eurydice, nous raconte ce chant méconnu. Car elle l’a chanté, en son temps, et elle nous en adresse, aujourd’hui, en un livre précieux, le signe surprenant. »

Pierre Bessiere

« Le beau témoignage d’une femme, d’une vie et toujours l’amour ; »

Nelly Heribel

Une écrivaine qui n’a pas peur de dévoiler son intimité.

Un livre captivant, enrichissant sur les creux et les bosses d’un parcours de vie.

L’histoire d’Eurydice et d’Orphée, célèbre histoire d’amour de la mythologie grecque a toute sa place dans ce livre.

Un livre qui ne laisse pas indifférent, vivement recommandé !

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